Solidité, maintenance, ergonomie et coûts, les critères de Pascal Favre

Toyota Material Handling France

Publié le 28 août 2019 - 3 minutes de lecture

Maintenance , Manutention

Témoignage client : solidité, maintenance, ergonomie et coûts, les critères de Pascal Favre, gérant des Transports Pascal Favre pour choisir son matériel de manutention.

« A chaque fois que j’ai testé du matériel à bas coût, je l’ai payé plus tard en réparation, en blocage du flux voire en remplacement prématuré du matériel. »

Sur quels critères choisissez-vous vos transpalettes électriques ?

Le premier est la solidité du matériel. Nous travaillons dans des conditions assez difficiles dans le monde du transport, cela a un impact sur le nombre d’erreurs humaines possibles et donc sur la casse des engins. L’un de mes frontaux a plus de 20 ans, par exemple ! Même s’il est vrai que nous n’avons pas une très grande utilisation quotidienne de ce genre de machines, cette longévité est vraiment incroyable.

En deuxième position, il y a le SAV. Je paye tous les mois une formule spécifique pour la maintenance de mon matériel afin d’éviter d’être bloqué trop longtemps à cause d’une panne. Les interventions se font dans les 8h maximum et le technicien a toutes les pièces constructeurs rapidement à disposition. Les entreprises tournent à flux tendus, il est impossible d’imaginer attendre plusieurs jours pour retrouver son matériel en état de marche.

Arrive ensuite la technologie : la souplesse d’utilisation, le bruit, la fluidité de déplacement, la visibilité... Les chauffeurs qui viennent de l’extérieur me font souvent remarquer que nos transpalettes électriques Toyota sont vraiment très performants sur ce point.

Ces critères influent forcément sur l’efficience, c’est-à-dire l’efficacité et la performance. Un matériel plus solide va nous permettre de mieux amortir l’investissement initial et éviter les réparations coûteuses. Quant au confort d’utilisation, cela permet plus de mouvement palette par jour.

Enfin, le coût est également important mais ne doit pas primer sur les fondamentaux que je viens de citer. A chaque fois que j’ai testé du matériel à bas coût, je l’ai payé plus tard en réparation, en blocage du flux voire en remplacement prématuré du matériel.

La sécurité est donc une obligation morale mais aussi une question de rentabilité ?

Tout à fait. Le métier de chef d’entreprise ce n’est pas s’arrêter à des questions financières, même si c’est le nerf de la guerre. Faire un travail de qualité, c’est prendre soin de ses salariés et conserver ses clients.

La taille de votre entrepôt et le nombre de mouvement palettes ne s’y prête pas vraiment mais que pensez-vous des chariots connectés ou encore de l’automatisation ?

Effectivement, ce n’est pas vraiment adapté à notre utilisation puisque la majorité de notre stock est du stock « mort ». Mais cela ne m’empêche pas de m’intéresser aux nouvelles technologies disponibles dans nos métiers de la logistique. Je suis très admiratif de la gestion des flux par les géants du e-commerce. Ce sont de vrais chefs d’orchestre des allées, personne ne se croise, tout est calé au millimètre. Et pourtant il faut aller vite et les produits manutentionnés peuvent aller du stylo au lave-linge ! Je suis également impressionné par les chariots automatiques que l’on trouve dans les sous-sols des hôpitaux.

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